Je suis un homme plutôt genre deuxième ligne de rugby qui a arrêté le sport et pris un léger embonpoint. Etant un bisexuel assumé, j’ai toujours eu un faible pour les travestis et ai eu quelques expériences, mais aucune aussi intense que la dernière. Profitant d’une absence pour motif professionnel de ma femme, j’ai décidé d’aller au bois de Boulogne pour prendre un peu de plaisir. Après une brève négociation, nous nous sommes enfoncés dans le bois avec Shirley, une grande travestie avec des grandes bottes blanches.

Mon pantalon se retrouva rapidement sur mes chevilles, alors qu’elle enlevait son string. Elle me descendit ensuite mon slip de dentelle que je porte fréquemment sous mon pantalon. Tout en nous caressant, nous revêtîmes nos chemises d’amour en latex. Son sexe était encore un peu mou alors je me suis accroupi pour le prendre en bouche afin de lui donner de la vigueur. Il grossit sur ma langue jusqu’à occuper toute ma bouche. Elle se mit alors à onduler son bassin prenant ma bouche pour un sexe chaud. Je lui caressais en même temps le ventre et les seins lui tordant légèrement les bouts. Pour pouvoir reprendre mon souffle, je lui ai pris entre mes lèvres ses couilles rasées (Humm ! un plaisir !). Elle changea de position alors, m’appuya sur la tête et puis je sentis son talon aiguille piquer le bas du dos. Elle m’ouvrait la voie pour sa chatte. J’ai tout de suite profité de son invitation pour lui faire une feuille de rose. J’ai toujours apprécié lécher un anus dont la peau est une des plus douces du corps humain. J’ai alterné de larges caresses avec des petits coups avec la langue pointue tout en essayant de pénétrer dans son intimité. Shirley avait l’air d’apprécier surtout si on considère les coups de talon que je recevais dans le dos. D’ailleurs, il ne faisait qu’accroître mon excitation. Mon sexe était totalement bandé au point de me faire mal.

Après dix minutes, où j’alternais fellation et feuille de rose, je me suis relevé et l’ai embrassé à pleine bouche. Je me suis alors placé derrière elle. Elle se pencha en avant prenant appui avec ses bras sur un tronc. Elle releva son cul en écartant les jambes, je me mis une dernière fois à genoux pour lui lécher la fente et la lubrifier. Puis, tout en douceur, je l’ai pénétré avec mon sexe. Tout doucement, j’ai senti son sphincter se détendre pour laisser passer mon gland.

Mon s a n g battait une pulsation sauvage le long de ma verge. J’ai alors doucement poursuivi mon insertion. Mon sexe a progressé entre ses fesses pour finalement se retrouver entièrement prisonnier d’un fourreau chaud et accueillant. Je me commençais à battre le rythme avec mes reins sortant pratiquement mon sexe à chaque fois, pour le replonger au fond de cette grotte au délice. Au fur et à mesure, j’ai accéléré le mouvement sentant Shirley poussé son bassin vers moi. Ces jambes perchées sur ses talons aiguilles semblaient trembler du plaisir d’une femme totalement ouverte et concentrée sur son plaisir. Nos mouvements devinrent de plus en plus sauvages et désordonnés. Nous abandonnions notre partition érotique laissant un plaisir primitif battre en nous. Je sentais mon s a n g battre comme un tambour dans tout mon corps pour annoncer ma jouissance prochaine. Toujours plus vite, toujours plus profond, puis dans nos râles, nos soupirs de contentement, j’ai joui. Tout au fond d’elle. Je l’aperçus tourner la tête vers moi avec un sourire.

Ma main descendit alors vers son sexe le sentant alors se durcir à nouveau. Elle n’avait pas pris son plaisir. Nous séparant, je me suis accroupi à nouveau et repris son sexe dans ma bouche pour lui donner la vigueur nécessaire pour qu’elle prenne son plaisir elle aussi. Elle m’encouragea en posant sa main sur ma tête tout en faisant un va-et-vient avec son bassin. Son sexe bien dur, je lui ai proposé de m’enculer. Elle s’est saisie d’un tube de gel et me lubrifia largement l’œillet entre mes fesses poilues. Elle me prépara en f o r ç a nt l’entrée avec un, deux puis trois doigts. Enfin, je sentis le contact de son préservatif sur mon anus. Au début un peu récalcitrant, il commença à s’ouvrir doucement laissant passer entièrement son pieu de chair. La sensation de déchirure, résultat du trop faible nombre de pénétrations que je subis dans l’année, se transforma progressivement en chaleur puis tout simplement en plaisir pur.

Me penchant bien en avant pour lui procurer le maximum de plaisir, j’ai soudain vu que nous n’étions pas seul. Une travestie sculpturale nous regardait avec son client qu’elle venait sans doute de satisfaire. Ils semblaient tous les deux très excités par le spectacle que nous offrions. S’approchant de nous, ils sortirent tous les deux leurs sexes pour me l’offrir à sucer. Surpris et ne réagissant pas assez vite, Shirley me donna une v i o l ente claque sur les fesses m’intimant l’ordre d’ouvrir la bouche. Je me suis donc retrouvé à sucer successivement deux sexes alors qu’un troisième me limait l’anus.

J’ai perdu toute notion de temps. Soudain, un liquide chaud a coulé sur ma joue. Le client venait de jouir. Ce rebraguettant, il s’éloigna vers sa voiture avec sans doute des sentiments mélangés de honte et de satisfaction. Pour ma part pris entre deux travestis, je prenais sans doute un des plus grands pieds de ma vie. Shirley a finalement joui dans mon cul. Elle se retira et jeta son préservatif. Mon petit trou soudain libéré battait la chamade, affamé d’une nouvelle queue. Je me suis retourné pour l’offrir à mon autre amante, qui m’encula sans difficulté tout en me filant quelques claques sur les fesses. Toutes ces chaleurs se mélangeait pour me faire perdre la tête.

Shirley nous regardait faire tout en urinant sur un arbre un peu à l’écart. Je tendis la main pour lui prendre son sexe coulant et dirigea le jet vers mon visage. Le liquide chaud m’inonda nettoyant les traces de sperme du client.

Nouvelle éjaculation dans mon cul. Mes jambes ne me portaient plus. J’étais dans le brouillard le plus complet. Après des sourires échangés, je suis finalement rentré chez moi épuisé, confus, honteux, mais aussi heureux de toutes ces sensations

Eddy